Dessinateur français originaire du Finistère, titulaire d’une licence d’arts plastiques, Noë Monin s’est passionné pour la BD dès son plus jeune âge et a suivi les stages qu’organise Gwen Le Rest à Arzano. Il gagne un premier concours de BD, en lien avec le festival d’Angoulême. Il est également remarqué par les éditions Tonkam au deuxième concours Tsuki Sélection et est publié dans le recueil Les Dragons. Pour Coyote Mag, Laurent Koffel lui propose ensuite le projet Venezzia qui lancera sa carrière. Il enchaînera avec Yodji chez Kami, Baskup et une adaptation du Livre de la Jungle pour les éditions Jungle, avant de rejoindre Casterman avec qui il signe l’adaptation en trois tomes des Lames d’Âpretagne. Le style de Noë Monin se situe au carrefour du manga, de la BD franco-belge et américaine. Il dit avoir été influencé par Akira Toriyama, Hayao Miyazaki, Bruce Timm, Glen Keane, Régis Loisel et Juanjo Guarnido.
Retrouvez les chroniques des albums de Noë Monin sur le blog de « La Loutre Masquée » :
« Marblegen » : interview de Noë Monin à Quai des Bulles
Dans un monde merveilleux, quatre enfants décident de partir en quête d’un alchimiste légendaire nommé Cagliostro. Pour ce faire, ils vont utiliser leurs Marblegens, des billes magiques. Chacune d’elle invoque un animal qui va leur permettre de partir dans une grande aventure !
Voici Noë MONIN, un auteur prolifique entre BD et dessins animés, rencontré pour la sortie de « Marblegen », édité chez Le Lombard.
« Marblegen » tome 2 : « Le vénérable Tanzang »
Dans un monde où le jeu de billes est devenu l’un des sports les plus populaires, les tournois de Marblegens font fureur. Ces billes magiques font apparaître chacune un animal différent, aux pouvoirs extraordinaires. Un deuxième tome réussi pour cette série fantastique !