Nina Jacqmin termine ses études à l’école supérieure de Saint-Luc à Bruxelles, ville où elle est née.
Un an après, elle entame une formation de graphisme et voit l’opportunité de lancer un projet de bande dessinée avec le scénariste Nicolas Antona. « La tristesse de l’éléphant » sort l’année suivante aux éditions Les Enfants Rouges et marque le début de sa carrière de dessinatrice.
Elle travaille ensuite en collaboration avec différents scénaristes sur plusieurs bande dessinée tels que « La mystérieuse affaire Agatha Christie », « George Sand, ma vie à Nohant » et « Fumée ».
Depuis, Nina continue de diversifier son travail et de s’engager pleinement dans l’art du dessin.
http://www.ninajack.com
Retrouvez les chroniques des albums de Nina Jacqmin sur le blog de « La Loutre Masquée » :
Mon père, Casimir et moi
Les spectacles de Casimir, les autocollants Panini et la poudre Tang, cela vous parle ? Avec « Mon père, Casimir et moi », Séverine Vidal et Nina Jacqmin nous proposent un voyage dans le temps pour la fin des années 70. Une Madeleine de Proust, un album « feel-good » qui fait beaucoup de bien !