Merwan

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Merwann Chabane est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Après un passage par l’École des Gobelins, il fait ses premières armes dans le milieu du jeu vidéo, mais également en réalisant des story-boards pour différentes séries d’animations.
En 2002, il se fait remarquer avec son film de fin d’études, « Biotope », court-métrage d’animation multi primé qu’il écrit et réalise. Soutenue par le CNC et Arte, cette expérience se poursuit avec la réalisation d’un autre court-métrage d’animation, « Clichés de soirée » sélectionné pour le prix du cartoon d’or 2009.
En 2007, il est contacté pour collaborer au long métrage des « Lascars » en tant que story-boarder.
Il publie en 2009 la bande dessinée « Fausse garde » aux éditions Vents d’Ouest, la version retravaillée et exhaustive de sa première BD « Pankat ».
Puis il publie également chez 12BIS le premier Volume de la saga d’aventure « L’Or et le Sang » qu’il dessine sur une mise en scène de Fabien Bedouel, coécrite par Maurin Defrance et Fabien Nury. Il entame ensuite la création d’albums, seul ou en collaboration, comme avec Bastien Vivès, par exemple.

 

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Bibliographie

  • 2012 : Le Bel âge,  éditions Dargaud (2 tomes)
  • 2012 : Jeanne, scénario de Merwan et dessins de Bertrand Gatignol, éditions Dargaud (2 tomes)
  • 2011 Pistouvi, scénario de Merwan et dessins de Bertrand Gatignol, éditions Dargaud
  • 2011 L’Ourso, scénario Merwan, dessin David Alapont, couleurs Sandrine Bonini, éditions 12bis
  • 2010-2011 : Pour l’empire, scénario et dessin Merwan et Vives, éditions Poisson pilote.
  • 2009 : Fausse garde, éditions Vent d’Ouest
  • 2009-2012 : L’or et le sang
  • 2004 : Pankat, éditions Vent d’Ouest

Gros plan sur

« L’or et le sang » de Merwan

L’histoire

Il ne suffit pas d’empiler les péripéties pour faire passer le souffle de l’aventure, la vraie, celle qui change le destin d’un homme et son regard sur le monde. Voici donc l’arbre qui cache la morne forêt de la bande dessinée dite d’aventures. Dans L’Or et le Sang, il fallait au moins une guerre, la Grande, pour que les héros, un petit malfrat corse et un aristo parisien, se lient à la vie, à la mort. Mais l’héroïsme ayant été gravement dévalué à leurs yeux dans la boucherie des tranchées, Léon Matilo et Calixte de Préampand se lancent, au lendemain de l’armistice, dans la contrebande d’armes destinées aux insurgés du Rif marocain. Ils ont beaucoup à apprendre, à leurs dépens, d’une situation qui leur échappe complètement avant de devenir les « princes du djebel », si Dieu et Allah leur prêtent vie

 Quelques planches

   

Quelques couvertures d’albums