Invité avec Antoine Roncou, plasticien, à une résidence croisée d’artistes à L’aparté (lieu d’art contemporain à Iffendic), Joël Legars sera au centre d’un partenariat fort entre l’art contemporain et la BD initié par Pré en Bulles et L’aparté pour la deuxième année consécutive.
Joël Legars met très vite de côté ses études d’art graphique et d’histoire de l’art pour se consacrer à l’illustration. Il quitte ses montagnes de Haute-Savoie pour Paris et publie ses premiers dessins dans la collection poche jeunesse des éditions Hachette.
Il participe ensuite à différents journaux et publications pédagogiques (Fleurus, Nathan…) et illustre un certain nombre d’ouvrages pour la jeunesse.
Depuis 2006, il a publié plusieurs albums de bande dessinée en tant que dessinateur ou scénariste notamment pour les éditions Carabas. Il co-réalise en 2010 et 2011 les deux saisons d’une série d’animation pour France 3 et JPL films, Rimadell. Il a récemment publié plusieurs ouvrages pour les Éditions Gargantua. Installé aujourd’hui à Nantes, il partage son temps entre la bande dessinée, le dessin humoristique et l’illustration.
Joël Legars sur le web : http://www.joel-legars.com/
Ses dernières publications
5 chevaliers sans peur, Edition Locus Solus, 2014
Juju et Confetti – T3 et 4, La petite boîte Edition/CERP Rouen, 2014
La princesse qui chantait comme une casserole, avec Bathany, Editions Gargantua, 2014
Biz, Editions Gargantua, 2013
Un honnête voleur, avec Dostoïevski, Editions Gargantua, 2012
Une partie de campagne, Editions Gargantua, 2011
Une histoire un peu approximative de France, avec Gudule, Editions Gargantua, 2011
Gros plan sur… « Une partie de campagne ».
L’histoire…
Une partie de campagne est une nouvelle publiée en 1881. Elle se déroule à Bezons sur les bords de la Seine, où les Dufour, une famille de commerçants parisiens, vont déjeuner. La mère et la fille connaîtront le plaisir et l’amour dans les bras des deux canotiers. Henriette épousera le commis de son père, un insignifiant « garçon aux cheveux jaunes », et gardera le regret de cette brève étreinte.
Une partie de campagne a été immortalisée à l’écran par un film de Jean Renoir, tourné durant l’été 1936.
D’autres couvertures et planches.